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mercredi 27 janvier 2010

Le Trail des 2 baies.

Le Trail des 2 baies.

Les semaines de préparation se sont déroulées sans anicroches.
J'arrive frais et en bonne forme pour ce trail.
Le départ se fait sur la plage du Touquet, c'est donc en groupe que nous nous nous rendons au lieu dit.
Quasiment 2 kilomètres pour rejoindre ce point.
Le départ est donné et comme d'accoutumance, cela part trés vite.
Je ne m'emballe pas et prend un rythme de croisiére.
Les trois premiers kilomètres se font en bord de mer, je cherche le sable dur afin de ne pas trop gaspiller d'énergie.
Puis nous bifurquons sur la gauche et c'est la que les choses sérieuse débutent.
Dix kilomètres de dunes nous attendent, une alternance de montées-descentes dans le sable.
Je réalise que les séances de côtes m'ont été trés profitables, je me suis amélioré dans les montées.
Là ou la majorité marchent, je trottines.
Je grappilles des places petit à petit, je vais doubler pas mal de personnes dans ce secteur.
Je prend garde à boire régulièrement même si je n'ai pas réellement soif.
Je me suis équipé de ma ceinture Salomon 2 bidons, qui s'avère suffisante pour ce type d'épreuve.
Le mélange eau et sachet de boisson endurance de chez Decathlon (arôme Citron) font l'affaire.
Du coté du ravitaillement solide, des pates de fruits et des gels.
Mais je ne mangerai rien, j'ai diné correctement la veille ( trop sans doute).
Les kilomètres défilent, je me délecte du paysage tout en conservant un bon rythme.
Nous sortons du parc de dunes pour traverser un véritable bourbier.
Moi qui avait fait attention de ne pas me mouiller les pieds, ce sera peine perdu.
J'ai de l'eau jusqu'au mollet, glacial et malodorante :-).
Enfin c'est aussi cela le trail.
Une petite portion de bitume et nous attaquons le point culminant, une dune trés trés haute.
Je vois en m'approchant la cohorte des coureurs qui la gravissent avec peine.
A mon tour j'escalade cette dune, les pieds s'enfoncent dans le sable.
Cela me rappelle le stepper, il faut pousser à fond sur les cuisses pour se hisser en haut de cette dune.
Néanmoins je ne me mets pas dans le rouge et gère cette ascension de quelques minutes.
Nous retournons sur la plage quelques kilomètres, là je réalise que j'ai progressé dans le trail mais régressé sur la route.
Quelques coureurs me dépassent mais je les reprendrai dans les parties techniques.
Un dernier passage dans les dunes, très courts et nous arrivons a Merlimont par la route.
Au bout d'une ligne droite, le ravitaillement pointe son nez.
Normalement nous sommes à mi course, mais après consultation de mon GPS, je n'ai que 14 kilomètres et des poussières.
Je ne m'arrête pas et attaque la seconde partie dans la foulée.
1H30 se sont déjà écoulé et j'ai toujours de bonnes sensations.
La seconde partie est plus monotone, beaucoup plus roulante.
Nous longeons la mer sur plusieurs kilomètres.
Quelques passages délicats néanmoins me raviront et me permettront de valider ma bonne forme.
Vers le 22eme Kilomètre, nous empruntons à nouveau une portion de dunes, très agréable encore.
Mais ce sera de courte durée et nous retrouvons la plage jusqu'au 25 éme.
Je doubles des concurrents étirant leurs muscles tétanisés par l'effort, je commence à avoir la foulée moins fluide.
Nous passons devant des Blockaus, vestiges d'une autre époque.
Là ou je cours beaucoup ont souffert pour la liberté, cette pensée m'effleure.
Au bout de la plage, nous tournons à droite et filons direction Berck et l'arrivée.
5 kilomètres d'enfer nous attendent.
Des chemins de pâtures tout d'abord, puis la traversée des marais.
Les organismes déjà bien éprouvés sont hautement sollicités dans cette partie finale.
Je m'enfonce dans l'eau jusqu'au genou, sensations de fraicheurs garanties.
Je cours toujours, les jambes sont toujours opérationnelles.
Le rythme est un peu moins soutenu mais il me permet de doubler encore des concurrents qui ont hâte d'en finir.
Puis la dernière ligne droite, je me permets d'accélérer pour franchir la ligne d'arrivée tout sourire.
Je passe la ligne, relâche la pression et profite de cet instant que tout coureur savoure.
La sensation du devoir accomplit, je suis allé au bout de ce trail sans souffrir et j'ai pris énormément de plaisir.
L'objectif que je m'étais fixé est rempli car je voulais figurer dans la première partie du classement.

jeudi 19 février 2009

Trail Glazig

Que dire de ce défi breton???!
Ce fut tout simplement génial.
Acompagné de Yin-Yin sur le 30 km, en solo sur le 15 km la nuit.


Samedi 07 Fevrier:

Aprés 3h de TGV, j'arrive à Saint Brieuc.
Je suis pris en charge par Yin-Yin qui va me faire découvrir le chemin des douaniers, le phare de Binic et une partie du tracé.
La mer est agitée, il ya beaucoup de vent, mais je me remplis les poumons de cet air vivifiant.
Que ça fait du bien, j'en redemande.
Retrait des dossards et visite du mini salon.
Je goute à tout ce qui est proposé sur les stands, les produits au soja, les gateaux suculents et la fameuse crépe bretonne au beurre et caramel salé.
J'en mangerai trois au total, l'air marin c'est frais mais ça donne faim.
Dépots des affaires dans le mobilHome et retour à la base pour l'Asics Training expérience.
Sympa cette attraction, ma VMA sera évalué à 16,2km/h et je repartirais avec un beau Tshirt Asics tout rouge.
Le temps passe trés vite en bretagne et la nuit arrive à grand pas.
Je me prépare pour l'expédition nocturne: le Noztrail.
Le départ est donné avec de jolis feux d'artifice, c'est magique.
Ca part vite, je suis la masse.
Le parcours est roulant, nous sommes dans le village de Plourhan pendant quelques temps.
Puis au détours d'un virage, les choses sérieuses commencent.
Des sentiers boueux, des champs trés boueux, des orniéres boueuses.
Enfin beaucoup de boue, le gore tex de mes chaussures n'est pas étanche dans ce cas la.
Malgré tout je me sens bien, je ralentis pour ne pas me griller pour l'épreuve du lendemain.
Petit passage dans un bois avec des relances trés sympathiques, on s'amuserai presque à tourner autour des arbres.
Retour sur le bitume puis à nouveau de la boue.
Les difficultés sont concentrées dans le dernier tiers, je commençais à me demander ou se trouver le dénivellé.
Je ne suis pas déçu, de bons coup de cul qui font travailler les cuissots.
Je les enquillent assez facilement même pas mal.
Retour vers Plourhan et un passage pour "nettoyer les chaussures comme ils disent", une riviére à traverser.
J'essaye de sauter mais c'est peine perdue, je m'enfonce dans l'eau gelée.
Floc Floc, les chaussures ne seront pas de la partie demain.
Arrivée en 1H27 et des pépettes pour cette premiére manche.
Dégustation des pates bolos avec les kikous présents et bien aimables qui me raméneront par charité humaine au Mobilhome.

Dimanche 08 Février:

Aprés une petite nuit retour à Plourhan pour la seconde manche.
Je retrouve Yin-Yin pour cette partie.
Ca commence bien, le parcours est rallongé de plus de 2 kms par suite de chutes de pierres.
Je suis la pour faire des bornes et du dénivellé c'est tout bénéfique.
Le départ est lancé, j'adopte une allure tranquile, celle que je prendrai pour le vulcain certainement.
Je suis aux alentours de 5'40s sur le plat.
Le rythme est tranquille, le parcours génial.
Aprés quelques kilométres, nous arrivons au bord de l'océan.
Les choses se compliquent alors.
Descente sur la plage, sable mouillée puis marches pour rejoindre le chemin des douaniers.
Succession de bosses et descentes qui cassent bien les pattes.
A nouveau la plage pour arriver à Binic, petit ravito ( 1h15 pour les 11 premiers kilos ) et redémarrage dans la foulée.
A nouveau la plage mais cette fois avec de l'eau salée.
Ca mouille les chausettes et ça rafraichit.
Passage de rochers difficiles, glissants et coupants.
Grosse montée à se tartiner, descente boueuse et retour vers Binic.
A nouveau le ravito, miam-miam du Breithz Cola c'est trop bon.
Côtes à nouveau et retour par le chemin des douaniers en sens inverse.
Les jambes se durcissent , font mals mis ne cédent pas.
Je prends un peu de temps pour m'étirer les quadris.
Le gauche me fait des miséres.
Les satanées passages de marches font leur travail de sape, que ça soit en montée ou en descente.
Mine de rien nous avançons avec Yin Yin et l'arrivée est proche.
Les derniers kilos se font en plaines et permettent de retrouver une certaine fraicheur pour passer la ligne.
4h18 et des pépettes pour cette seconde manche.
Course bien gérée au niveau du rythme, moins bien au niveau de l'hydratation.

Voila le we Trail Glazig se termine, Yin Yin me raméne à la gare et je repars vers l'air pollué de la région parisienne.

Super we de déténte sportive.
Merci à Yin Yin pour sa disponibilité et sa gentillesse, aux organisateurs de ce trail ( Sam entre autre), aux kikous rencontrés pour leur bonne humeurs, aux dunes de l'espoir pour ce qu'ils font pour les enfants, aux membres de l'équipe Asics et à tous les bénévoles et spectateurs.

Merci à Loic pour la qualité de ses plans d'entrainement.




lundi 2 juin 2008

La Pastourelle

Trail La Pastourellle à Salers ( Cantal )

32 km/ 1200m D-

Samedi 31Mai 2008

Avant Course:

Beaucoup de trajet nous attend pour aller à Salers.
Nous partons de notre base vers les 10h30 et nous arrivons à la cité médiévale de Salers vers les 18h.
Le temps est mausade, alternances de soleil et de pluies orageuses.
Le cadre est magnigifique, les puys que l'on aperçoit au loin, nous promettent de nous livre leur mystéres le lendemain.
J'ai hate d'en découdre, je suis peut être trop impatient.
Le retrait des dossarts est un peu agité, certains dépensent déja leurs forces en s'insurgeant.
Nous avons le droit un magnifique tshirt technique Mizuno, un beau cadeau.
Nous découvrons ensuite le gite dans lequelle nous passerons le week end.
Une cheminée nous attend, qu'il est bon de ne rien faire au prés du feu.
Chacun prend ses repéres et se rend utile pour la collectivité.
Le repas est concocté en toutes décontraction, les traditionnelles pates sont de rigueur.
Une douche chaude et au lit car la le prochain jour sera long.
Réveil matinal, sensations de fatigue, la pression monte.
Le petit déjeuner est pris et il faut alors attendre.
Se préparer minutieusement, prendre son mal en patience.
Qu'il est long d'attendre, une assiette de pate nature, histoire de charger un peu la bête.
Vers 12 h départ vers Salers, une ultime viste avant le départ prévu à 14H15.
Je suis fatigué avant d'avoir livré bataille.
Positionnement sur la ligne de départ et attente de la délivrance.
La pluie tombe et nous rince une premiére fois, le début d'un calvaire annoncé.


Course:

Le départ est enfin donné, cela part trés lentement.
Nous sommes nombreux et les routes de Salers ne sont pas larges.
Je ne m'emballe pas et part lentement, je ne cherche pas à dépasser.
Nous savons que les premiers kilos sont en descente, il faut les aborder avec prudence et ne pas se laisser griser.
Au bout de 1,5 km, un troupeau se forme, un goulet d'étranglement.
Mauvaise surprise, c'est la panique, beaucoup veulent dépasser, on est à la queu leu leu.
Un sentier technique monotrace, glissant de surcroit, nous coupe les pattes, nous sommes à l'arrét.
Plus de 20 minutes seront perdus, il faut prendre son mal en patience.
Je bouillonne interieurement, j'ai chaud et je peste.
A qui en vouloir, les premiers sont déja loin, alors que nous sommes bloqués dans ce sentier.
Au bout de 30 minutes, je sors enfin de ce sentier, et attaque enfin la montée vers Puy Violent, une ascencion de 8,5 km.
Je cours alors que d'autres sont déja en train de marcher, la bonne stratégie peut être.

Jusqu'au 5éme kilométre, je déroule, la pente est abordable.
Je n'ai pas de sensations, aucun plaisir, l'esprit ailleurs.
Je me contente d'avancer, l'envie déja d'en finir.
J'alterne ensuite marche et course à la sortie de la partie boisée.
Au loin les premiers sont déja à Puy Violent et nous devancent de presque 5 kms.
Nous passons à travers paturages et chemins de pierres, difficile pour moi de placer sa foulée.
Le trail c'est tout une technique.
Je n'ai pas la niaque, des envies d'abandon me viennent à l'esprit.
C'est un jour sans, un jour ou je n'ai pas la motivation.
L'ascencion de puy violent est faite en 1h47mn, une petite descente qui fait mal aux jambes et il faut alors continuer son chemin.
Nous longeons les crétes, cela me fait peur, des coureurs glissent et pestent.
Il y a même de la neige par endroit, c'est tout de même magnifique.
J'essaye de trouver un brin de motivation en me disant qu je suis privilégié de me trouver la à plus de 1500 m d'altitude, dans un cadre exceptionnel.
Rien n'y fait, j'ai la nausée, trop de stress.
Cahin Caha, je vais avancer, enchainer les difficultés, je n'ai pas mal aux jambes, je n'ai pas de sensations.
Une derniére ascencion, un chemin rural et l'arrivée au village.
Je tape dans la main des gamins, je marche dans la montée pavé et déroule dans la descente vers l'arrivée.
Un peu moins de 4h40 d'effort, je suis vidé.


Aprés Course :

Je n'ai envie de rien, je vais à la croix rouge pour ma nausée.
Un petit comprimé me fera du bien.
Je suis décu, frustré de ne pas avoir vécu à fond cette aventure.
C'était un jour sans.


Le parcours:



Le profil:



Mon classement:



565 DECOOL Jérôme M 1379 SE 04:39:42 AS COURIR A LIEUSAINT 486 136 6,9


Mes courbes:


FCM/VM

lundi 12 mai 2008

La course du Sanglier

La Course du Sanglier

Jeudi 08 Mai 2008

21km400, 350 D

Avant Course:

Réveil à 7h pour cette course non programmée.
J'ai envie d'accompagner le groupe à cet événement qui sera suivi d'un barbecue.
Arrivés sur place aprés 1/2h de route, nous sommes pris en charge par les bénévoles irréprochables qui nous indiquent le parking et le lieu de retrait des dossards.
Dossard en poche, je discute avec les kikoureurs sur place dont JLW et Colimacon qui font parties de ces bénévoles bienvaillants.
Retour à la voiture et mise en tenue.
Photo de groupe et café.





Petit échauffement puis départ du 11 kilométres ou nous avons quelques participantes.
C'est ensuite notre départ sous le feu du canon.


La Course :

Je cours au feeling et mon allure sera réguliére tout au long du parcours.
Petite discussion avec le kikou JCDUSS durant les premiers kilométres qui me prend en photo tout en courant.





Les sensations sont bonnes et le premier raidillon est monté tranquillement, même pas peur!!!.
Nous aurons 7 pentes à franchir numéroté de 7 à 1.
Je continue ma progression, je file dans les descentes, slalome dans les sous-bois et souffre au soleil.
Mes tendons me rappellent mon marathon, et le tiraillement du genou gauche est bien réel mais passera avec l'effort.
Le 10 éme kilo est passé en 57 mn, je suis toujours dans mon objectif de 2h.
Petite photo de JLW:






Je prend un gel aprés 1h de course, puis un autre au 15 éme.
Le sixiéme raidillon me sera fatal, je me fais doubler par Francis qui a du manger du lion :-).
Je peine dans cette côte bitumée, j'ai du mal à relancer.
Je commence à peiner, les jambes sont lourdes.
Malgré tout, je conserve le rythme.
La derniére partie de course et surtout le dernier raidillon se feront en plein cagnard.
Je souffre de cette chaleur, mon bidon est presque vide, j'ai bu à chaque kilométre.
Je trouve les ressources nécessaires pour terminer en 2h02mn07s.







L' Aprés Course:

Récupération autour d'un barbecue.
A froid j'ai mal aux tendons, le lendemain sera encore pire, notamment dans les descentes/montées d'escalier.
Je suis satisfait de ma course réalisé sans objectifs, j'ai manqué un peu de fraicheur sur le finish et c'est ce qui m'a couté les 2 mn supplémentaires.

Mon classement :


Place Nom Prénom Temps Place catégorie Moyenne
245 DECOOL Jérôme 02:02:07 95 10,59

Le parcours :




Le profil:





Mes courbes :



FCM/VM:







Récapitulatif:

lundi 24 mars 2008

Les arcades de l'Aqueduc

Compétition du Dimanche 24 Mars 2008

Les Arcades de l'Aqueduc à Milly La Forêt
Course Verte ( 23 km/ 350 D)

Avant course :

La veille de la course n'est pas un exemple en termes de dietetique ( raviolis le midi et buns/frites le soir).
Levée vers 7H30, je n'ai pas trés faim et je me force pour prendre un café et un morceu de gateau chinois à la créme ( pas terrible non plus pour la diéte ).
Je ne traine pas trop, j'ai 30 mn de route avant d'arriver à Milly.
Je profite de ce périple pour me substenter de la boisson d'attente Overstim ( du bon, testé et approuvé ).
Arrivé sur place 1h avant le départ, je retire mon dossart tranquillou et discute avec des kikourous dont le bagnard et son fameux boulet.
Je suis malheureusement arrivé trop tard pour le café, il n'y en a plus :-(.
Je retourne ensuite à la voiture pour me préparer, le temps est froid, le Kway s'impose.
Scénario habituel, habillage, crémage ( antifrottement et gel chauffant ), et petit pissou.
J'ai le temps de m'échauffer 5 minutes avant de me rendre au départ.

La course :

A 9h30 le départ est donné, j'ai de bonnes jambes, je me sens bien.
Je vais attaquer dés le début, et je me lance sur une bonne allure ( 12 km/h ).
Etant partie en queue de peloton, je dépasse pas mal de monde sur les premiers kilos.
Je connais le parcours et je sais que les difficultés sont à partir du 10 éme kilométre.
Je m'amuse donc comme un petit fou dans ses sentiers sablonneux ou de terre.
Les kilométres sont indiqués, j'essaye de ne pas trop regarder mais bon c'est difficile.
Ce qui est drole c'est qu'il ya quasiment une coupure à partir d'un moment, je suis en fin de groupe et derriére il y a plus personne.
Je pense que 12 km/h est une barriére naturelle entre deux niveaux.
Je vais donc suivre ce groupe un petit moment, on se passe et repasse.
Je fais les descentes à fond et je me fais repasser sur le plat et les parties montantes.
Arrivé au 10 éme kilométre, la premiére difficulté pointe son nez.
Il y a 100 marches abruptes à gravir.
Arrivé en haut de l'escalier, mom mollet droit me fait sentir sa présence.
Me serais je mal hydraté?
Je bois donc un maximum et ce mollet récalcitrant me laissera tranquille.
La course continue, mélant petites montées ou grosses ( au 12 éme) et descentes techniques.
Vers le km 16 je passe au niveau de l'aqueduc, c'est toujours surprenant de trouver cela ne pleine forêt.
Il reste encore 7 km , je tiens bon.



au second plan, il faut zoomer ;-)


Il n'y a plus beaucoup de mouvement depuis un certain temps dans les positions, je suis dans un groupe de 3 personnes, j'essaye de m'accrocher pour ne pas me retrouver seul.
Je commence à aimer le drafting.
Un long faux plat au 18 éme, il faut s'accrocher et c'est ce que que je fais.
Je suis bien et je sais que le dernier kilométre est en descente.
Les ravitos se passent bien, je prends soin de m'alimenter en gels toutes les 30 mn et de boire toutes les 5 mn.
Je dépasse quelques concurrents à bout de souffle et me fais dépasser par un gars qui visiblement en avait encore beaucoup sous le pied.
Inconsciemment j'accélére sur les 3 derniers kilos, la faute à ceux devant qui méne un bon train.
Le stade approche et je tire encore un peu plus sur la machine, mais je commence à avoir chaud avec ma tenue de trailer ( pas l'idéal pour sprinter).
Il y a le gars devant, je pourrai aller le chercher mais ce n'est pas l'esprit trail.
Je laisse donc tomber et me contente de finir tranquille le tour de piste.

J'avais prévu 2h pour les 22km prévus mais il y en avait 23!!!.

Aprés course :

Un peu de coca, de raisins et une barre énergétique et me voila requinquer.
Je suis trés content de cette course, le mental a bien suivi, malgré des moments de moins bien relatifs à ce genre d'épreuve.
Aprés la remise des récompense, je repars tranquillement, et je me substente avec la boisson regénératrice d'Overstim ( essayé et approuvé ).
Petit massage relaxant le soir et les jambes retrouvent leur vigueur.

Mes courbes :

FCM




Vitesse moyenne




Mon classement :

105 T157566 DECOOL JEROME 02:01:17



285 arrivants

Mes temps de passage :

Distance Vitesse Cadence Cumul
1 km 10.97 km/h 05'28'' 05'28''
2 km 11.61 km/h 05'10''10'38''
3 km 12.94 km/h 04'38''15'16''
4 km 12.37 km/h 04'51''20'07''
5 km 10.9 km/h 05'30'' 25'37''
6 km 12.16 km/h 04'56''30'33''
7 km 12.54 km/h 04'47'' 35'20''
8 km 12.04 km/h 04'59'' 40'19''
9 km 11.57 km/h 05'11'' 45'30''
10 km 9.3 km/h 06'27'' 51'57''
11 km 12.81 km/h 04'41''56'38''
12 km 12.85 km/h 04'40'' 01h01'18''
13 km 8.27 km/h 07'15'' 01h08'33''
14 km 12.12 km/h 04'57'' 01h13'30''
15 km 11.68 km/h 05'08' 01h18'38''
16 km 11.61 km/h 05'10'' 01h23'48''
17 km 10.9 km/h 05'30''01h29'18''
18 km 11.76 km/h 05'06''01h34'24''
19 km 11.25 km/h 05'20'' 01h39'44''
20 km 10.11 km/h 05'56'' 01h45'40''
21 km 10.65 km/h 05'38''01h51'18''
22 km 12.54 km/h 04'47'' 01h56'05''
23 km 13.09 km/h 04'35'' 02h00'40''


Le parcours:


Le profil:















lundi 25 février 2008

Trail du chateau de Pierrefonds

Trail de Pierrefonds (32km5/900D)








Avant Course

Lever aux aurores pour ce trail à Pierrefonds. Le réveil sonne à 5h30, il est temps de déjeuner. J'ai prévu pour ce petit déjeuner, un menu que j'ai repéré sur la toile.
Je mangerai donc un yaourt riz au lait, 2 tartines beurrées au nutella et une compote de pomme.Un petit café et un verre de jus de fruit compléteront l'affaire.
Je prends mon temps et je file au RDV pour un départ à 6h direction l'Oise.
Mon sac a été préparé méticuleusement la veille, le ravitaillement est bien en place.
Après 1h30 de route, nous arrivons à Pierrefonds.
Il y a du monde et le départ est prévu dans 1H.
Le temps de récupérer le dossard et de se changer, il est l'heure de prendre la navette vers Morienval lieu du départ. Je me suis vêtu en court, short et t shirt, camelbag, casquette et NB trail. Je n'ai pas oublié la crème antifrottements Overstim et le gel chauffant de la même marque. Un bon choix car je n'aurai pas de brûlures.





Après une dizaine minute de car, nous voila enfin sur le lieu du départ.Une petite place face a l'abbaye de Morienval sera l'endroit de rassemblement.Pas d'échauffement, je me positione directement dans le peloton vers la fin.Le coup de feu ne tarde pas à retentir et la meute est alors lâchée.

Course

Le départ est tranquille, ça bouchonne une peu dans les rues de Morienval.
Après quelques hectomètres une première côte arrive, il faut déjà la négocier.
Puis nous empruntons ensuite un sentier forestier qui ne finira que 30 km plus tard.
Ce n'était pas le même sentier mais il n'y avait que ça, des chemins forestiers avec des belles descentes.
La première partie est tout de même assez roulante, je file un bon train aux alentours de 11 km/h.
Le cardio reste relativement faible et il ne dépassera pas souvent les 160 BPM.




Je suis attentif à mon ravitaillement et je bois régulièrement toutes les 10 mn.Concernant la partie solide, ce sera une alternance gels/pâte de fruits toutes les 30 mn.J'ajoute à cela deux pastilles de sodium toutes les heures.La première heure est bouclée avec 10km5 au compteur.Je continue sur un bon rythme et le ravitaillement est en vue.Un petit arrêt au stand ravito, 17 km et 1h40 de course.La seconde partie sera beaucoup plus difficile.Il reste encore 15 kilos mais aussi 8 grosses difficultés.Dés la reprise après le ravito, la montée se profile et elle sera bien rude.Les montées sont usantes, longues et raides.Au bout de 2h, j'arrive au sommet d'un de ces raidillons situées au 20 éme kilométre.





Il me reste 12km5 à parcourir et encore 6 difficultés.Les montées vont alors s'enchaîner sur 9 km, trés raides et longues, la marche rapide est de rigueur.Puis je sort de la forêt, un bénévole m'annonce qu'il ne reste que 3 kilos.J'aperçois le chateau au loin, il est la tout proche.Je retrouve un peu de sensations à travers champs sur 2 kilos puis sur le bitume ensuite.Mais l'arrivée est située tout en haut, à l'entrée du chateau.Il y a encore une bonne montée bitumée à s'enquiller. Elle passe bien, les jambes sont dures mais pas de crampes.Je termine tranquillement et passe la ligne en 3H30 et des poussières.






Après Course

Je me ravitaille tranquillement et discute allégrement avec les finishers.Une petite analyse de ma course rapide, j'ai manqué de mental à partir du 20éme.Les pulsations étaient basses et je n'ai pas su me faire mal.Je suis tout de même satisfait de ma course qui m'a permis de tester mon ravito.Je me suis fait plaisir dans les descentes et j'ai vu de beaux paysages.Nul doute aussi que la fatigue physique était aussi présente avant le départ.Une course que je referais certainement, notamment pour le buffet d'après course.

Mon classement

Classt Nom Prénom Classt caté Temps
295 DECOOL Jérôme 106ème SM 3H30'11"

Le parcours




Le profil


lundi 21 janvier 2008

L'Ice Trail

Compétition du Dimanche 20 Janvier 2008


Trail 15 km / D 400m


Avant Course:

Ce matin levé très tôt, à 6h30, je prends mon petit déjeuner spécial compétition ( 1/8 de gâteau sport, 1 compote et un café ).Je rejoins le reste du groupe et nous partons sans traîner car la route est longue jusqu'à Presles. Après une bonne heure de route, nous arrivons enfin sur place. Comme il était dit sur le site, on sera garé assez loin du départ et on aura le droit à une montée sévère pour le rejoindre. Retrait des dossarts, café et mise en tenue. J'ai faim, une petite barre de céréale fera l'affaire. Nous déposons le sac à la consigne puis rejoignons l'aire de départ. Avec le groupe, nous sommes tout au fond et on va le payer dés le début.


La course:

Le coup de feu est donné et ça n'avance pas, nous allons passé dans un goulet d'étranglement.
Je marche, m'impatiente, c'est dur de voir les autres foncés et de ne pas avancer soi même.
La situation se décante dans la première montée et je commence à trouver un rythme agréable.
Presque 10 mn pour le premier kilo, ça c'est de la performance.
Le circuit est en grosse partie sur des sentiers forestiers boueux, je dépasse encore et encore.
J'effectue les descentes à fond ( 16 km/h )et les montées les plus raides en marche rapide.
J'ai pris mon camelbag que j'ai remplie avec de l'hydrixir et je me sustente régulièrement.
Après 1h de course, profitant d'un raidillon, je prends un gel caféiné. Il va me faire de l'effet et me rebooster sur la fin du parcours que je termine sur les chapeaux de roue, effectuant mon kilo le plus rapide sur ces derniers kilos. Dernière montée et dernière descente ou je repasse quelques gars et c'est enfin l'arrivée.

Je regarde le chrono, 1h27mn , je suis satisfait.


L'après Course:

Sympa cette ballade!!!Je me suis bien amusé et je ne l'ai pas trouvé spécialement dur ce trail.Un peu glissant et griffant ( les ronces...) mais le temps était doux et propice à la course à pied. Je me ravitaille bien et me change car je refroidis vite. Sur le chemin du retour, je pense au prochain trail et je suis confiant au vue du résultat d'aujourd'hui.





Avant la course, la fine équipe



Les temps intermédiaires

Distance Vitesse Cadence Cumul
1 km 6.4 km/h 09'22'' 09'22''
2 km 11.42 km/h 05'15'' 14'37''
3 km 10.52 km/h 05'42'' 20'19''
4 km 9.32 km/h 06'26'' 26'45''
5 km 11.07 km/h 05'25'' 32'10''
6 km 12.24 km/h 04'54'' 37'04''
7 km 9.47 km/h 06'20'' 43'24''
8 km 10.81 km/h 05'33'' 48'57''
9 km 7.65 km/h 07'50'' 56'47''
10 km 11.88 km/h 05'03'' 01h01'50''
11 km 11.76 km/h 05'06'' 01h06'56''
12 km 12.9 km/h 04'39'' 01h11'35''
13 km 10.4 km/h 05'46'' 01h17'21''
14 km 10.31 km/h 05'49''01h23'10''



Le dénivellé



Le parcours







dimanche 6 janvier 2008

Sortie aux 25 Bosses...

Séance du Dimanche 06 Janvier 2008

Sortie Longue

Suite à un appel d'un club local et de quelques kikoureurs, une sortie non officielle (OFF) a été organisé aujourd'hui sur le site des 25 Bosses à Fontainebleau.
Arrivé à 9h avec deux amis, nous ne tardons pas à partir avec le restant du groupe déjà sur place.
Des groupes de niveaux se forment rapidement et nous affrontons ensemble ces fameuses bosses rocailleuses.
Au total une bonne sortie longue, même très longue.
Mon groupe n'a pas fait le tour complet mais la variante du Diplodocus (21 bosses) et une bosse en plus due à une gourance à la fin.
Un petit bémol, je n'ai pas eu le temps de synchroniser mon GPS, je n'aurai donc pas le tracé exact.


Mon kilométrage approximatif :

15km pour 3h03mn

700m D


Mes courbes :

Fréquence cardiaque :



Quelques photos:

En plein effort



Petite pause en haut de la croix de la résistance



Vidé....

lundi 3 décembre 2007

La SaintéLyon 2007

La SaintéLyon Relais à 4


RELAIS 1 : StEtienne--->StChristo (16 km 400m D)


L'avant Course :

Départ en début d'après midi pour Lyon. Le trajet se passe bien, le temps est gris mais il ne pleut pas.


Nous arrivons à Lyon un peu avant 18h et prenons possession de nos chambres d'hôtel. Pas le temps de traîner, nous enchaînons sur Saint étienne pour la récupération des dossards et du bracelet électronique.
Arrivée vers 19h à Sainté, le hall est presque vide et parait gigantesque. Il y a les stands habituels des équipementiers trails ( Raidlight, Garmin, Petzl…).
Nous récupérons rapidement tout le barda, les fameuses chasubles phosphorescentes, le roadbook et un T shirt pas trop nul.

Après un petit tour des exposants, la faim se fait ressentir et là on se dit qu'on aurait du réserver. Les restaurateurs sont vraiment peu accueillants et nous renvoient à nos pénates : "C'est complet". Bref, après une petite marche nous trouvons enfin un petit restau moyennant une petite 1/2h d'attente. Je mangerais léger pour ma part, les autres relayeurs ne se priveront pas. Retour au hall vers 23h, la ça sent le départ, il est quasi plein et l'ambiance est montée d'un cran. Les individuels partent à minuit et les relayeurs 1h. Nous avons le temps de nous changer et de prendre un petit café bien fort pour ne pas sombrer dans les bras de morphée.


Mes amis relayeurs partent ensuite au point de relais pour placer le second relayeur, m'abandonnant à mon destin. Dix minutes avant le départ, je sors du hall et me rend sur l'aire de départ. L'ambiance est chaude, j'ai le trac, je ne sais pas comment je vais gérer cet effort de nuit. A 1h pétante le départ est donné, ça part tranquillement.



La course:

Je sais que jusqu'au km6 les pentes sont gérables et je décide de prendre de l'avance sur ses premiers kilos. Je suis donc à une allure de 12 km/h sur le plat, 13 dans les descentes et 10 dans les montées. Tout se passe bien, les 6 premiers kilos sont absorbés sereinement en un peu plus de 30 minutes. Puis vient le début d'une abominable montée de plus de 3 kilomètres. Nous allons passer de 500m à 750m d'altitude. Je gère mon effort, alternant marche et course quand la pente est trop rude. J'arrive à Sorbiers ( km 9), c'est la fin du bitume.

Le terrain est gras mais praticable, je pense que j'ai fait la plus grosse partie des montées mais que nenni. Cela ne va pas arrêter, je vois au loin ,la tout en haut, des frontales et je me dis qu'il va falloir encore gérer pour ne pas se griller.
Il y a des points de vue magnifique, la nuit est à nous et la ville au loin aussi. Je suis au 11 éme en un peu plus d'1h et il reste encore 5 bons kilomètres. Je marche toujours quand la pente est trop rude afin de reprendre mon souffle et je repars de plus belle. Je fais les descentes à fond en prenant soin de ne pas tomber, il y a pas mal de grosse pierres.

Arrivé au 14 éme je crois en avoir fini avec ces montagnes russes mais je m'aperçois que non, il me reste encore le Col de la Gachet et ça montre très fort, je ne sais pas le pourcentage mais je dirais bien 15% à certains endroits.
Après le col, ca descend et je vois la lumière de Saint Christo, la délivrance et la tristesse d'en avoir fini avec ce relais.
Je prends mon temps et profite au maximum des derniers hectomètres. J'arrive en un peu moins de 1h40, le second relayeur n'est pas encore là et nous allons perdre 10 minutes mais qu'importe nous sommes là pour découvrir.

L'après Course :

La nuit sera longue, après m'être changer dans la voiture, j'essaye de récupérer un peu. Je ferme les yeux mais ce n'est pas un vrai sommeil réparateur. Nous assurons les différents relais à Ste Catherine puis à Soucieu. Je serai même un peu malade, le chaud et froid, la voiture ainsi que la fatigue. Le jour se lève enfin vers 8 h, nous allons assister à l'arrivée de notre dernier relayeur. Il arrive comme nous tous, content d'en avoir terminé et heureux de l'avoir fait. Retour vers l'hôtel à 9h30, un petit déjeuner et une sieste de 3h pour repartir en début d'après midi. Le temps va changé tout au long du parcours et on passe d'un temps agréable à Lyon à une tempête en région parisienne.
Je rentre chez moi vers 20h, laminé mais heureux.


Vivement l'année prochaine.


Mes courbes :

Fréquence cardiaque



Vitesse



Dénivellé

samedi 15 septembre 2007

Course la Décou'Verte : Trail 19 km / 350 D

La Décou'Verte est une course de 19 km avec un dénivelé de 350 m.
J'ai fait ce trail en tant que sortie longue, afin de varier les parcours d'entraînement.
Mon objectif était de ne pas dépasser les 2H de course.


Avant Course:

Levée matinal pour cette course débutant à 9H.
Un petit déjeuner léger composé de lait de soja et 2 brioches fourrées au chocolat.
Je m'hydrate et je prends 2 comprimés de Sodium Recovery.
Arrivé sur place 1h avant la course, je ne puis que constater que la remise des dossarts est très bien faite.
Je prends un café et je file me préparer.
J'ai pris avec moi ma ceinture gourde car c'est un trail en autosuffisance.
Une gourde de 750 ml d'Isostar, des pâtes de fruit, quelques gels voila mon ravito personnel.
Je ne m'échauffe pas vraiment car je ne partirai pas rapidement.


Course :

Le départ est donné à 9h précise.
Je pars relâché dans un rythme agréable.
Les premiers kilos nous font traversés des champs, puis la forêt arrive avec ses sentiers sablonneux et ses relief accidentés.
J'essaye d'avoir une bonne allure sur le plat afin de pouvoir perdre un peu plus de temps sur les montées que j'effectue en marchant.
Je bois une gorgée d'Isostar tous les 1/4h environ.
Arrivé au 10éme kilo, une montée se profile, je prends soin de m'hydrater correctement, de manger ma pâte de fruit et je prends 2 comprimés de sodium recovery.
Jusqu'au 15 ème kilométre, je gère en accélérant dans les portions faciles et toujours en marchant dans les montées.
Arrivé au 15éme, je prends un gel énergétique.
Les derniers kilomètres de forêt sont difficiles, je marche quelques instant sur des faux plats qui ne sont pas des montée abruptes.
J'ai soif mais je veux de l'eau bien fraîche.
Les 3 derniers kilomètres se font cahin caha, à travers champs.
Puis les derniers 500 métres, j'accélére dans la dernière montée bitumée cette fois.
J'arrive après 1H54'14'' d'effort.


Après course :

Je me ravitaille convenablement et je file me changer car je suis trempé.
Je n'ai pas trop regardé mon cardio, j'ai fait la course aux sensations.
Bilan plutôt positif pour cette course, j'ai réalisé mon objectif et je n'ai pas eu de crampes.
Par contre j'ai manqué un peu de fraîcheur à partir du 12 12ème kilométre.


Le parcours et le dénivelé






Mes courbes


Fréquence cardiaque




Vitesse




Altitude




Mes temps de passage


Distance Vitesse Cadence Cumul
1 km 11.5 km/h 05'13'' 05'13''
2 km 12.08 km/h 04'58'' 10'11''
3 km 9.86 km/h 06'05'' 16'16''
4 km 11.04 km/h 05'26'' 21'42''
5 km 12.81 km/h 04'41'' 26'23''
6 km 8.25 km/h 07'16'' 33'39''
7 km 11.18 km/h 05'22'' 39'01''
8 km 11.32 km/h 05'18'' 44'19''
9 km 11 km/h 05'27'' 49'46''
10 km 8.45 km/h 07'06'' 56'52''
11 km 9.49 km/h 06'19'' 01h03'11''
12 km 9.02 km/h 06'39'' 01h09'50''
13 km 8.88 km/h 06'45'' 01h16'35''
14 km 8.29 km/h 07'14'' 01h23'49''
15 km 8.41 km/h 07'08'' 01h30'57''
16 km 9.49 km/h 06'19'' 01h37'16''
17 km 9.47 km/h 06'20''01h43'36''
18 km 9.72 km/h 06'10'' 01h49'46''
19 km 11.39 km/h 05'16'' 01h55'02''

Mon classement
116 arrivants


Place Nom Ligue N° Club Nom Club Tps Cat Place Categ Dos Nat Moy
72 DECOOL JEROME AS COURIR A LIEUSAINT 01:56:14 SEM 18 43 9,81